La recherche impérative de légèreté imposée par la levée des deux portées au-dessus des voies ferrées a été le moteur du travail entre les architectes et les ingénieurs. Cette tâche a conduit à créer une passerelle qui se présente comme un « squelette » dépourvu du moindre kilo de trop.

Seule la raideur nécessaire au confort de franchissement pour les cycles et piétons occupant les deux rives du quartier de la gare de Tours a conduit affermir un schéma statique ultra-performant.

Deux autres points marquants du projet : le double bow-string fait référence à la ligne de la toiture de la gare centrale et une rampe hélicoïdale en béton fibré permet de s’affranchir des ascenseurs et de la nécessité de leur maintenance.